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  • : Greffé du foie le 02 01 2008 . Je désirerais entrer en contact avec toutes personnes greffées ou en attente de greffe. Je suis bénévole au sein de l'association Don de vie et Donneurs de vie. Prendre contact en laissant un message dans les commentaires .
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Pour avoir la liste des dons de sang  dans l'arrondissement de Béthune et de plasmaphérèse dans le Pas de Calais

Veuillez vous reporter à la catégorie "Campagne pour le don"

Vous pouvez aussi consulter le site de l' établissement Français du sang.

www.dondusang.net   rubrique donner

 

Plus que jamais le don reste un besoin permanent

 

 

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 23:00

 

 

Bouclier immunitaire , le miel recèle de nombreux bienfaits pour notre santé .

 

Quelques raisons de succomber et pourquoi pas le préférer au sucre ...

Le miel , un trésor de bienfaits pour l'hiver

 

 

Valeurs nutritionnelles pour 100 g de miel  

 

Protéines : 0,4 g      Glucides : 76 g     Lipides : 0 g     Calories : 300 kcal

 

Comment le choisir ?

 

Vérifiez la provenance , les miels d'importation sont de plus en plus nombreux , mais non soumis à la réglementation française plus exigeante . On voit ainsi apparaître sur le marché des miels de médiocre qualité , au goût standard voire , parfois , de faux miels, dilués avec de l'eau ou coupés avec du sirop de glucose .

 

Sur l'étquette , cherchez la mention "récolté et mis en pot par l'apiculteur " , gage de sa traçabilité . Privilégiez -chaque fois que possible - les miels de petits et moyens producteurs français .

 

C'est l'édulcorant le plus naturel

 

Le miel a un pouvoir sucrant plus important que le sucre blanc ordinaire composé uniquement de saccharose . Il apporte aussi moins de 300 calories pour 100 g contre 400 calories pour le sucre .

 

Les miels plus liquides -plus riche en fructose - présentent d'ailleurs un index glycémique légèrement plus faible que les autres .

 

Il renforce l'immunité

 

Il contient des composants antiseptiques qui freinent la multiplication des germes et des actifs immunostimulants . Ses flavonoïdes ont également des propriétés anti-ceptiques et anti-inflammatoires ; plus les miels sont sombres , plus ils en contiennent .

 

Il contient aussi des oligo-éléments (calcium, potassium, sodium...) et des vitamines essentiellement B1, B2, B3.

 

Bon pour les os

 

Le miel favorise aussi l'assimilation du calcium et la rétention du magnésium , deux minéraux indispensables au bon fonctionnement de notre organisme .

 

Il adoucit les maux de gorge

 

C'est un antitussif . En cas de mal de gorge , le miel est un bon lubrifiant .

 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Nutrition
5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 15:37

 

La BPCO ( broncho-pneumopathie chronique obstructive ) est largement ignorée du grand public .

 

Bien que son diagnostic soit handicapant , il n'est établi que chez un tiers des malades en raison de son caractère très progressif et insidieux .

 

La BPCO est définie comme une maladie chronique et lentement progressive. Elle est caractérisée par une diminution non ou peu réversible du calibre des bronches. Cette obstruction bronchique empêche peu à peu le passage de l'air et provoque l'essoufflement, d'abord à l'effort, puis progressivement pour des efforts de plus en plus minimes, et enfin une gène respiratoire au repos. Elle n'entraîne longtemps aucun réel handicap et n'est donc le plus souvent découverte que lorsque les dégâts sont déjà importants.

 

La Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive (ou BPCO) est une maladie encore trop méconnue en France, comme dans l'ensemble du monde. Elle concerne pourtant très directement quelque 3 millions de personnes en France où elle occasionne plus de morts que la pneumopathie atypique, le sida, la grippe, les accidents d’avions de train et d’automobile réunis. L’une des premières causes de la méconnaissance de la BPCO tient justement à son caractère sournois et insidieux…

 

La cause première et principale de la maladie est le TABAGISME

 

Dans 90% des cas -. Nous avons à ce jour la certitude que plus un individu a fumé, plus il risque de développer une BPCO. On estime qu’à partir de 1 paquet par jour pendant 15 ans, le risque devient significatif.
Même pour une exposition moindre, le tabagisme constitue encore une menace dont il faut tenir compte. Elle est aussi due, mais beaucoup plus rarement, à une exposition professionnelle à certains polluants. Elle peut enfin être la conséquence d’infections broncho-pulmonaires de l'enfance. Elle se distingue de l'asthme, cette autre pathologie respiratoire qui apparaît souvent précocement chez l’enfant ou le jeune adulte. Car la BPCO survient plutôt chez les personnes d’âge mur et souvent après une intoxication tabagique prolongée sur de nombreuses années.

 

Une personne, le plus souvent fumeur ou fumeuse, qui tousse et crache tous les matins, est suceptible d'être frappée de BPCO , il importe ne pas banaliser ce premier signe qui voudrait dire qu’il est "normal" de tousser lorsque l’on fume. Car jour après jour, la BPCO non diagnostiquée ni soignée évolue vers un rétrécissement progressif et irréversible du calibre des bronches, qui à un stade avancé de la maladie se rétrécit. L’air entre dans les alvéoles pulmonaires mais il s’évacuera difficilement du fait du rétrécissement des bronches.

 

Lentement mais sûrement, les lésions évoluent vers une destruction progressive des poumons, ce que l'on appelle l'emphysème, qui est une des complications de la BPCO.

BPCO : une maladie peu connue et pourtant très répandue

 

La mesure du souffle pour dépister la BPCO

 

Maladie jusqu'alors essentiellement masculine, la fréquence de la BPCO augmente chez la femme où elle est souvent plus précoce et plus sévère. Cette évolution est étroitement associée à l'augmentation du tabagisme constaté chez les femmes et en particulier chez les jeunes femmes. Aussi la BPCO doit-elle être dépistée le plus précocement possible. Car les lésions broncho-pulmonaires provoquées par le tabac sont irréversibles et aucun traitement ne peut les faire disparaître. Pour dépister précocement l'obstruction des bronches, le seul moyen actuellement à disposition est la mesure du souffle par l'exploration fonctionnelle respiratoire, c'est à dire la spirométrie.

 

Aussi si vous vous sentez essouflé, si vous toussez et si vous crachez le matin en vous levant; n'hésitez pas à consulter votre médecin traitant et lui demander qu'il procède ou fasse procéder à une mesure du souffle.

 

Une grande inconnue

 

Si la maladie inquiète , c'est qu'elle connaît un retentissement croissant . Elle tue plus de 16 000 personnes chaque année en France , toujours selon la SPLF ( Société de Pneumologie de Langue Française ), et pourrait venir au cinquième rang des causes de handicap et la troisième cause de mortalité de maladie d'ici 2020 .

 

Les femmes sont de plus en plus touchées . En cause , l'augmentation dun tabagisme au féminin associée à une fragilité spécifique . Cependant , la maladie reste méconnue du grand public mais aussi des professionnels de santé comme des malades eux-mêmes, regrette La SPLF . Longtemps peu invalidante , la BPCO est ainsi souvent découverte trop tardivement .

 

Des symptômes banalisés par les patients

 

La maladie respiratoire se caractérise par un essoufflement à l'effort qui n'apparaît que très progressivement . Très souvent , les personnes touchées tendent à adapter leur activité pour ne pas percevoir leur gêne respiratoire , ou plus encore , attribuent la réduction de leurs activités quotidiennes à d'autres facteurs comme le poids , l'âge ou la sédentarité .

 

En l'absence de réel handicap , la maladie n'est le plus souvent découverte que lorsque les dégâts sont déjà importants . C'est pourquoi la production de crachats le matin et l'essouflement rapide ne devraient jamais être banalisés par le fumeur , mais au contraire conduire à consulter .

 

Le dépistage

 

Le médecin traitant peut procéder à un premier examen notamment en utilisant un débitmètre employé dans le diagnostic de l'asthme . Il pourra prescrire une mesure du soufle par un pneumologue , il s'agit d'une exploration fonctionnelle respiratoire réalisée avec un spiromètre , seul moyen dont on dispose aujourd'hui pour détecter précocement une obstruction des bronches .

 

Plus le dépistage est précoce , plus il permettra de freiner la détérioration pulmonaire et de préserver la qualité de vie du patient en initiant une prise en charge adaptée au plus tôt .

 

Carnet de suivi de la BPCO

 

La société de Pneumologie de Langue Française vient de définir des carnets de suivi de la BPCO à 'l'attention des médecins et des patients visant à assurer une meilleure prise en charge de la maladie dans le temps .

 

Si le diagnostic est posé , vous pouvez en faire la demande à votre médecin

Pour en savoir plus , consultez le site :  www.lesouffle.org

 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Informations diverses(cancers tabac.diabétologie
3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 08:58

 

Sa rondeur généreuse et sa belle couleur orange lui font un look magnifique , et il met de la magie dans nos repas.

 

Fi des sorcières , le potiron s'invite sur nos tables d'hiver .

Le potiron , il n'a pas l'air d'une courge !

Une histoire de conte de fées

 

Il était une fois ... de drôles de végétaux aux formes et aux couleurs pleines de fantaisie. Ils poussaient depuis des millénaires sous les tropiques d 'Amérique du Sud et furent raportées en Europe à partir du XV e siècle , quand Christophe Colomb découvrit le Nouveau Monde .

 

C'est ainsi que la famille des cucurbitacées (courges) fit chez nous une entrée très remarquée . Au point de trouver l'une de ses variétés , la citrouille , traitée en héroïne dans les contes et fables de deux génies de la litérature : Charles Perrault pour Cendrillon  et Jean de la Fontaine pour le gland et la citrouille

 

Citrouille ou potiron ?

 

Ils se ressemblent et dans le langage courant , on les confond . Si sa notoriété littéraire et ses qualités décoratives exploitées lors des fêtes de hallowen , rendent la citrouille très populaire , c'est de loin le potiron que l'on préfére pour sa saveur douce et sucrée et sa chair moins filandreuse que celle de sa célèbre amie .

 

Voici un petit tableau de famille des variétés courantes :

Le potiron et son petit frère le potimarron ( plus petit ,et sa chair farineuse rappelant celle des châtaignes ), sont de la même espèce (cucurbita maxima). alors que la citrouille appartient , ainsi que la courgette et la pâtisson , deux courges d'été à l'espèce des cucurbita pepa .

 

On le mange aussi des yeux

 

Aimant chaleur et soleil , près de 50 % de nos potirons sont cultivés en Provence  . Et on le récolte en septembre-octobre , avant les premières gelées . Non entamé , il se conserve quatre à cinq mois au frais et se consomme jusqu'à la fin de l'hiver .Vu son poids (10 kg en moyenne) , on l'achète plus souvent en tranches . Enveloppé dans un film alimentaire , il se garde quelques jours dans le bac du réfrigérateur .

 

Son pigment orange , riche en bêtacarotène aux vertus antioxydantes (contre les maladies cardiovasculaireset certains cancers) , ses fibres douces et sa légéreté en calories sont de très bonnes raisons de le déguster .

 

Débarrassée de sa peau coriace et toujours cuit . A l'eau , à la vapeur, au four, frit et même en beignet , il vous régalera .

 

En soupe , c'est un pur délice

 

En purée ou en gratin ,parfumé d'épices et d'herbes , il accompagne bien viandes et volailles .

 

Pensez aussi à en egayer vos couscous et pot-au-feu !

 

Côté dessert , il se décline en flan , compote , sorbet ou confiture , mais c'est en tarte qu'il est très bon , le potiron !

 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Le savez vous ? histoire de ....
1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 23:00

Quel est le meilleur hôpital en France ?

Le Nouvel Observateur a établi le classement à partir de plusieurs critères d'évaluation.

Meilleurs hôpitaux de France : le classement 2013 du Nouvel Obs

Un classement effectué par un journal peut ne pas paraître objectif, mais celui-ci semble correspondre assez à la réalité énoncée par le Ministère de la Santé. Mis à part pour Lille qui aurait chuté de 3 places

 

Le classement des meilleurs hôpitaux de France 2013 a été réalisé par l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur. C'est ce 29 novembre que l'étude déterminant quels établissements hospitaliers sont les mieux notés est publiée. Résultat : les dix premiers hôpitaux mis en avant dans le palmarès sont tous des établissements publics. Trois d'entre eux sont situés dans la ville de Paris. Deux sont à Lyon.

 

Pour établir la liste des meilleurs établissements, le journal s'est procuré et a analysé les données du Programme de Médicalisation des Systèmes d'Information de l'année 2012. La rédaction a retenu 8 critères d'évaluation : le volume d'activité, la part de la chirurgie, de l'ambulatoire et de la coelioscopie dans l'établissement, la diversité des cas traités, l'attractivité, et le niveau des ressources consommées pour traiter les pathologies.

 

Meilleurs hôpitaux de France

Hôpital Ville Classement global
( Source : Nouvel Observateur du 29 11 2013 )
GH Pitié-Salpétrière Paris 1
CHU de Toulouse Toulouse 2
CHU de Bordeaux Bordeaux 3
CHRE de Lille Lille 4
Hospices civils de Lyon GH Est Lyon 5
CHU de Strasbourg Strasbourg 6
Hospices civils de Lyon GH Lyon-Sud Lyon 7
GH Cochin-Saint-Vincent-de-Paul Paris 8
Hôpiltal européen Georges-Pompidou Paris 9
Hôpital La Timone adultes Marseille 10
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zouave62660 zouave62660 - dans Informations diverses(cancers tabac.diabétologie
30 novembre 2013 6 30 /11 /novembre /2013 23:00

 

Pour les hommes et les dieux, le fruit de la vigne est symbole de vie et de plaisir ...

 

Dégustez-le donc sans modération .

 

Avec quelques grains ,on se fait plaisir .

 

En cure exclusive de deux à trois jours , on se fait du bien !

Le raisin , il donne la pêche !

 

Pas pressé de se mettre à table

 

La culture de la vigne qui remonterait à 6 000 ans avant J-C en Europe centrale , est indissociable de l'histoire du vin . Si les raisins secs font déjà fureur dans l'Antiquité pour leur qualité énergétique et de conservation , les grappes de raisins frais ne font leur apparition sur nos tables royales qu'au XVIe siècle . C'est seulement à la fin du XIXe siècle ,à la faveur d'une grave crise du secteur viticole français que notre production du raisin de table prend son essor . 

 

Sa culture exige beaucoup de travail d'une grande minutie : ilfaut récolter à la main en ceillant à ne ceuillir que le raisin parfaitement mûr . Et , sur chaque grappe , à l'aide de ciseaux spéciaux , éliminer chaque grain défectueux . On appelle ça << ciseler >> le raisin .

 

Muscat et chasselas, duo en noir et blanc

 

La production française , qui représente 66 000 tonnes par an , est concentrée dans le sud du pays . Avec un choix de variétés noires ( cardinal, muscat , Alphonse Lavallée) ou blanches  ( chasselas, danlas, italia ) qui se succèdent sur les étals d'août à novembre , avec une pleine saison en septembreet en octobre .

 

C'est le cas de nos deux champions ( en tonnage et en notoriété ), qui bénéficient tous deux d'une AOC , d'une peau très fine et d'une saveur incomparable : le noir muscat du Ventoux (Vaucluse ) et le blanc chasselas de Moissac ( Tarn et Garonne ) .

 

Sachez que le raisin italia à gros grains blancs et fermes, même s'il est un peu cultivé en France ,,provient le plus souvent d'Italie du Sud , surtout en décembre .

 

Des grains de folie douce en cuisine

 

Au marché , la pruine ( fine péllicule blanche ) sur les grains et la rafle ( qui soutient les grains en grappe ) bien verte sont des signes de fraîcheur.

 

Conserver le raisin jusqu'à cinq jours dans le bas du frigo dans un sac plastique . Mais il faut penser à l'en sortir une heure avant le repas .

 

Son apport calorique tient surtout à, sa teneur en sucres rapides . Voilà pourquoi il est le fruit du tonus et de l'énergie , si précieux à l'automne

 

Croquez les grains natures , avec des fromages de caractère , en bouchés appéritives enrobés de lamelles de jambon fumé ou en saladesalée (avec des endives et des noix )

 

Poêlé ou poché , il acompagne délicieusement foie gras, cailles, canard et autres valailles .

 

Enfin , vous pouvez abuser de lui largement au dessert : en salade mélangée sucrée et épicée ( poivre, vanille, gingembre...) , avec fromage blanc et miel , en tarte , en clafoutisou crumble , seul ou avec des pommes ou des bananes .                                              

 

 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Le savez vous ? histoire de ....
29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 23:00

Le Melunais Steven Flandre, atteint de la mucoviscidose depuis son plus jeune âge, revit depuis un an suite à une greffe réussie.

Il raconte son parcours de battant.

Steven, la vie à pleins poumons

Steven a tout d’un jeune homme ordinaire. À 21 ans, il prépare un CAP cuisine à l’UTEC d’Avon. Il a une petite amie, il fait du sport, et pour la première fois de sa vie se projette dans l’avenir. Car Steven n’a pas connu une enfance ordinaire. À l’âge de deux ans, le diagnostic tombe. Violent, implacable : il est atteint de la mucoviscidose. « Les médecins ne savaient pas ce que j’avais. Je faisais beaucoup de gastrœntérites. J’ai pu commencer les cures antibiotiques très tôt ». Direction donc l’hôpital de Melun deux semaines tous les trois mois. Il grandit avec la maladie, résolu à ne pas laisser le mal qui le ronge faire obstacle à ses projets. « Je n’ai jamais redoublé, sauf la deuxième année de BTS quand j’étais trop mal. J’allais à l’école de Melun, normalement, et j’étais à l’hôpital pendant les vacances scolaires. Je ne m’en plains pas, j’aimais l’hôpital, le personnel ».

 

Son quotidien reste rythmé par les traitements et les séances de kiné deux fois par jour : « On ne guérit pas de la muco, dit-il. On peut simplement empêcher les infections, et que notre état s’aggrave. Notre corps produit des déchets muqueux que nous n’arrivons pas à expulser. Ils restent dans les poumons et le pancréas ».

 

Optimiste et battant de nature, il ne se refuse rien : « Je vivais normalement. Je faisais du sport autant que je pouvais. J’ai fait du foot, du vélo, et même du théâtre pendant six ans. Puis à 18 ans, la situation s’est aggravée ». Juste avant le bac, les infections prennent le dessus. Épuisé, il se rend tant bien que mal en cours, avant que les médecins lui parlent pour la première fois de greffe. Pendant une année, il est placé sous oxygène 24 h sur 24, continuant sa scolarité : « Je vivais presque normalement, mais j’étais épuisé. J’ai fait avec, car de toute façon je n’avais pas le choix ! ».

« On s’habitue vite à respirer normalement »

 

À ses 20 ans, son état s’empire et la greffe de poumon devient urgente. Il passe une batterie de tests pour vérifier ses compatibilités. Début septembre 2012, il est placé sur la liste. L’attente ne sera pas longue : le 9, il est appelé pour être opéré : « J’ai eu de la chance. Je suis petit mais pas trop grand, je suis O+. J’ai des critères qui facilitent une greffe ».

 

Un an après, Steven respire. À pleins poumons. Son opération fut un succès : « Ca change tout, sourit-il. Je refais du sport, de l’escalade, je sors avec les copains ». Encore inimaginable il y a 20 ans, la greffe lui a littéralement sauvé la vie. « J’ai seulement un traitement anti-rejets, soit une vingtaine de médicaments par jour. À côté de ce que j’ai connu, ce n’est vraiment rien. Je me suis réveillé comme si j’étais né comme ça. On s’habitue tellement vite à respirer correctement. C’est naturel ».

 

Désormais, Steven regarde vers l’avenir avec optimisme. Il reste sous haute surveillance médicale et mesure son souffle chaque jour. Tout en sachant que la partie n’est jamais gagnée : « C’est un pansement, pas une guérison. Le problème, c’est le risque de rejet qui peut arriver n’importe quand. Il suffit d’avoir une infection… »

 

Et pour que son expérience puisse inspirer les autres malades, Steven est très impliqué au sein de l’association « Vaincre la muscoviscidose » : « Dès qu’on fait appelle à moi, je viens pour participer aux actions de l’asso. Le but, c’est de faire parler de la maladie et bien sûr d’inciter les gens à faire des dons. Car on en aura toujours besoin. Je vis au jour le jour, j’étais comme cela avant ». Une leçon de courage.

 

Informations sur l’association : www.vaincrelamuco.org/

Yoann VALLIER

Grégory Lemarchal, le « porte-parole »

La mucoviscidose a été très médiatisée après la mort du chanteur Grégory Lemarchal : « Il a permis de faire découvrir la maladie. Il avait besoin d’une greffe, mais il s’y est pris trop tard. Moi, j’ai eu le temps de m’y préparer. Quand j’étais petit, j’ai moi aussi chanté. Chanter quand on a la muco, cela peut poser souci sur la longueur. Mais j’ai appris à chanter avec le ventre 

(source : www.larepublique77.fr   du 28 11 2013)

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zouave62660 zouave62660 - dans Histoires vécues
29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 08:27

 

Elle nous en met plein la vue !

 

Avec une enveloppe piquante et un nom qui évoque bien la castagne , on pourrait la soupçonner de cacher son jeu , mais on l'adore .

 

Des fruits agréables à ramasser qu'a déguster salés comme sucrés .

La châtaigne

 

Châtaigne ou marron ?

 

Les deux , mon capitaine ! l'une et l'autre sont fruits de châtaignier , de variétés différentes .Dans leur bogue hérissée de piquants , les châtaignes se serrent à trois , voilà pourquoi plus petites et aplaties . Alors que le marron , seul dans la sienne , peut grossir et d'arrondir à son aise !

 

Même s'il leur ressemble , ne le confondez pas avec les marrons d'Inde , non comestibles , qui amusent les enfants sous les marronniers des parcs et jardins des villes .

 

Des traces fossilisées de châtaigniers datant de l'ére tertiaire autorisent à penser que ces fruits ont longtemps constitué une base de l'alimentation humaine , d'où son surnom d'arbre à pain .

 

De l'Ardèche à la Corse , en passant par le Var

 

Les châtaigniers appréciant les sols silicieux sans calcaire , c'est surtout dans les Cévennes , en Corse et dans le Var que la castanéiculture s'illustre .

 

Le petit village de Collobrières se taille ainsi une réputation de capitale de la châtaigne du massif des Maures et surtout de sa déclinaison en marron glacé !

 

La culture du châtaignier sur l'île de Beauté a donné son nom à une région de Haute-Corse , la belle et mystérieuse Castagniccia .

 

Les châtaignes récoltées sont à 90 % transformées en farine excellente ( labellisée AOP depuis 2010 ) pour perpétuer les traditions culinaires corses , dont les fameux beignets .  Mais une grande partie des châtaignes corses est consommée sous les arbres par les porcs , dont la chair sert à produire  la charcuterie si parfumée !

 

 Quand à la châtaigne d'Ardéche , elle est la reine . Couronnée par une AOC depuis 2006 , elle représente à elle seule la moitié de la production française soit 5 000 tonnes par an .

 

Un délice dans tous ses états !

 

Récoltées de début octobre à la mi-novembre , les châtaignes fraîches sont à choisir bien pleines , brillantes et lisses .Conservées dans le bas du frigo ( pas plus d'une semaine ) , elles gardent leurs qualités nutritionnelles : des fibres, des minéraux , des sucres lents , bons fournisseurs d'énergie .

 

De la plus rustique à la plus raffinée , voici quelques façons de les cuisiner :

 

Grillées au four ou dans une poêle à trous

 

Bouillies ou rôties , entières , en brisures pour accompagner ou farcir volailles et gibier

 

Ou encore réduites en purée ou en soupe .

 

En versions sucrées , les crèpes , les flans et toutes sortes de pâtisseries :fondant, moelleux , cake

 

Enfin , carrément confites, en sublimes marrons glacées .
 

A vos fourneaux !

 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Le savez vous ? histoire de ....
27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 23:54

 

C'est un trésor qu'elle nous offre dans sa coquille protectrice , qu'il faut mieux casser soi-même .

La noix n'en est que meilleure .

La noix , on ne lui dit pas &quot; casse-toi &quot;

Rien d'autre qu'une grosse amande.

 

<< Une noix , qu'y a-t-il à l'intérieur d'une noix ? >>. La question posée dans la chanson de Charles Trenet avait déjà dû tarauder l'homme de Cro-Magnon , chez qui on a retrouvé , dans le Périgord , la trace du fruit à coque !

 

Le noyer est en effet un arbre indigène d' Europe , et de France en particulier . Avec des vergers (noyeraies) rparties sur le territoire et plus concentrés dans deux régions "le Périgord et le Dauphiné ", où la noix et plus encore son huile ont fait l'objet d'un commerce intense et lucratif dès le Moyen-Âge .

 

Reformulons la question : Qu'est-ce qu'une noix ?  Une drupe , un fruit à partie charnue (le brou non commestible) et à gros noyau , la coque de noix , dont les deux cerneaux sont l'amande !

 

Ce n'est pas un record à la noix !

 

Avec 36 000 tonnes de noix par an , dont 60 % sont exportés, la France est le premier producteur en Europe de ce fruit à coque , signe d'abondance .

 

Notre pays peut aussi s'énorgueillir de deux noix distinguées par une AOP ( appellation d'origine protégée) , signe d'exellence : la noix de Grenoble et celle du Périgord , attachées aux terroirs qui correpondent aux deux grands berceaux historiques .

 

Récoltées entre mi-septembre et fin octobre , les noix se consomment fraîches , mais seulement dans les quinze jours qui suivent . On apprécie alors des cerneaux hydratés , tendres et à la saveur subtile : profitez-en vite ! ou bien sèches , à la chair plus croquante et au goût plus prononcé et ce toute l'année .

 

Plus d'une noix de fantaisie en cuisine !

 

Il faut l'avouer : dans un régime minceur , la noix n'a pas vraiment sa place . Comme d'autres fruits oléagineux (amandes, noisettes ...) , elle est d'une apport calorique élevé ,assuré en majeure partie par des lipides . Cependant il y a les mauvaises graisses et les bonnes ... Tels les acides gras insaturés, dont les fameux oméga 3 de la noix , excellents pour le coeur et les artères et contre le cholestèrol

 

La bonne dose est de trois à cinq noix par jour , pas de quoi mettre sa ligne en péril ! Et accordez-vous des extras avec des recettes succulentes et plus d'une noix de fantaisie ! Par exemple , des gâteaux et des cakes aux noix pilées ou concassées, de superbes tartes garnies de cerneaux vernis au miel ou au sirop d'érable, ou encore enrobés d'une ganache au chocolat .


En salade , la noix s'associe à d'autres fruits (raisins frais, secs, pommes, poires, agrumes...) légumes (roquette, mâche, endive...) . Et même du fromage , pour de formidables salés-sucrés .

 

Profitez de toutes les qualités de la noix .

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zouave62660 zouave62660 - dans Le savez vous ? histoire de ....
26 novembre 2013 2 26 /11 /novembre /2013 23:00
Tartare végétarien à la pastèque et aux 2 radis

 

Ingrédients : (4 pers)

 

1 botte de radis roses

 

1/2 radis noir

 

1/4 de pastèque

 

Le jus de 1 citron

 

4 C à soupe d'huile d'olive

 

1 C à soupe d'huile de sésame

 

1 C à cafè de graines de sésame

 

Ciboulette

 

Sel et poivre

 

 

Préparation : 20 mn

 

Nettoyez les radis roses et essuyez-les

 

Epluchez le radis noir avec un économe

 

Râpez l'ensemble des radis

 

Préparez la marinade avec les huiles, le jus de citron, la ciboulette ciselée , le sel et le poivre

 

Versez une partie de la marinade sur les râdis râpés et réservez au frais

 

Otez les pépins de la pastèque et découpez des tranches pas trop épaisse

 

Découpez des cercles de pastèque à l'aide d'un emporte-pièce pas trop grand

 

Mélangez les graines de sésame aux râdis râpés et montez les tartares dans quatres petites assiettes

 

Déposez 1 ou deux tranches de pastèque (en fonction de leur épaisseur ) dans chaque assiette et garnissez-les de tartare de radis

 

Arrosez l'ensemble de la marinade restante et placez le tout au frais jusqu'au moment de servir .

 

 

 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Plats végétariens
25 novembre 2013 1 25 /11 /novembre /2013 23:00

Le don croisé d’organes qui lie deux couples de donneur/receveur va démarrer en 2014, selon l'Agence de biomédecine.

Le don croisé de reins va démarrer en 2014

Le don croisé d’organes devrait démarrer en France début 2014, selon la directrice générale de l’Agence de la biomédecine. Emmanuelle Prada-Bordenave a fait cette annonce ce 21 novembre, au cours d’une audition devant l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opcest), rapporte l'Agence de presse médicale (APM).

 

Jusqu’alors, le don d’organes par d’autres personnes que les membres de la famille n’était pas possible. En juillet 2011, l’Agence de la biomédecine a mis en place de nouvelles dispositions afin d’accroître le don du vivant. Le don croisé réunit deux « couples » donneur-receveur lorsque le don n’est pas possible au sein d’une même famille. Le donneur compatible du couple A peut donner son rein au receveur du couple B, et vice versa. L’Agence estime que cela devrait permettre 50 à 100 greffes supplémentaires par an pour les dons de rein.

Développer le don croisé

Pour le moment, seul le don croisé de rein sera effectif. Depuis 2012, l’Agence de la biomédecine se concentre sur ce domaine, qui souffre d’une grave pénurie. Ce système permettrait de régler une partie du problème. Il devrait commencer dès 2014, soit un report d’un an par rapport au calendrier initial. Selon Emmanuelle Prada-Bordenave, « tout est prêt pour que ça marche, les paires sont constituées et le système informatique est prêt. » C’est justement ce travail de répertoire des donneurs potentiels, de croisement des différentes compatibilités et de mise en place du fichier informatique qui a pris tout ce temps. A présent, les greffes pourront être mises en place. La directrice de l’Agence de biomédecine souligne aussi un nombre croissant de donneurs vivants : 11% en 2012 contre 8% en 2011.

 

D’autres pistes sont lancées pour accroître les dons d’organes. L’Agence a ouvert la possibilité d’effectuer un don hors du cercle familial. Le succès de cette mesure est resté très limité : seule une dizaine de dons supplémentaire a été relevée. Emmanuelle Prada-Bordenave souhaite aussi développer le don après un arrêt cardiaque. Durant son audition, elle a pointé certaines faiblesses concernant les dons d’organes : les importations de têtes fémorales sont jugées « injustifiées » alors que les dons de sang de cordon et de moelle osseuse sont en quantité largement insuffisantes. (source: pourquoi docteur ?: article de Audrey Vaugrente publié le 22 novembre 2013.)

 
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