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Vous pouvez aussi consulter le site de l' établissement Français du sang.

www.dondusang.net   rubrique donner

 

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 22:00

punch à la fraise

 

Ingrédients : (8 pers)

500 g de fraises

5 cl de sirop de fraise

1/2 l de jus d'orange

2 l de limonade au citron

 

  réunir dans une coupe à punch les fraises , le sirop et le jus d'orange

 

 Laisser au réfrigérateur 2 heures

 

 Ajouter quelques glaçons et la limonade au moment de servir .

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zouave62660 zouave62660 - dans Boissons et cocktails sans alcool
1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 22:00

La première école française d'infirmières fut créée en 1902 .

La formation devenait nécessaire .

Innovation importante remontant, elle , au XVe siècle , deux siècles avant Vincent : les béguines (ces femmes ayant fait voeu de chasteté et d'obéissance qui vivent en quasi-collectivité autour d'une chapelle ) ont l'autorisation de visiter les malades à domicile . <<Elles porterons elles-mêmes , lit-on dans un texte de 1630, les remèdes aux malades , les traitant   avec compassion , douceur , respect et dévotion .>> Ainsi  celles qu'on appelle aujourd'hui les <<infirmières libérales >> ont quatre siècles d'existence !

 

Le système des soeurs hospitalières durera jusqu'à la révolution : leur congrégations dissoutes , leurs biens <<nationnalisés >> , les religieuses sont remplacées dans les hôpitaux <<par des citoyennes connues pour leur attachement à la république >> ... Mais hélas , presque totalement incompétentes , parce que sans aucune préparation , ni formation .

personnels soignants 1930 

 

 

 

 

 

 

 

Dés les  années 1930,

le personnel soignant et laïque

est formé dans

des écoles spécialisées

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Détail peu connu , cette <<laïcisation >> du personnel soignant des hôpitaux fut demandée bien avant la révolution : une expérience avait été conduite à Lyon au XVIe siècle .Due à un prédicateur de l'ordre des cordeliers , Jean Tisserand , elle avait abouti <<à convertir à pénitence  25 paillardes publiques >> et <<à les mettre en service au grand hôpital du Pont-du-Rhône , pour éviter qu'elles n'aient l'occasion de réchoir en public >> .Au bout de quelques années , les pénitentes , sans doute rebutées par leurs taches auprès des malades , redevinrent pécheresses ...

 

Dés 1796 , les religieuses soignantes récupérèrent leurs places dans les hôpitaux , leurs couvents et , en 1801 , le concordat leur restitua tous leurs biens : par la suite , la mère de Napoléon  fut même appelée <<protectrice des soeurs hospitalières dans toute l'étendue de l'Empire >>. Les hospitalières sont rénumérées et parfois logées à l'hôpital (cettaines vont dormir dans leur communauté . Un avantage en nature : nourries à l'hôpital où elles travaillent , elles ont droit <<au bouillon semblable à celui des indigents valides et malades , bouillon fait dans une seule marmite >>.

 

Dés le milieu du XIXe siècle , insensiblement les soeurs de Saint -Vincent de Paul   sont graduellement éliminées des hôpitaux , leur méconnaissance des questions techniquesnne leur permettant pas d'assurer des soins corrects aux malades .

 

Dés 1877 , dans les hôpitaux , le personnel religieux n'assure plus que l'intendance et la surveillance , un personnel laïque se chargeant à la fois des gros travaux et des soins .

Hélas ! ce personnel , fréquemment illettré , est incompétent et, de surcroît , cupide : souvent , il fait payer aux malades tisanes et cataplasmes  ! Il faut présiser aussi que ces employées , mal payées , se reposent dans des dortoirs garnisnde paillasses (occupés le jour par les infirmières de nuit , pendant la nuit par les infirmières de jour .

 

Une révolution totale s'impose : elle sera inspirée par une jeune anglaise issue d'une famille riche , Florence Nightingale  (voir photo article 1) . Sous une inspiration mystique <<Dieu m'a appelée à son service >> , la jeune femme suit en 1855-1856 , à 35 ans , les armées anglaises engagées avec les Français dans la guerre de Crimée contre les Russes . A son retour , elle fonde en 1857 , à Londres , une école de <<Trained Nurses >> (littéralement des <<gardes malades professionnelles>> ) où des éléves soumises à l'internat apprennent leur métier , selon des règles fixées par Florence .<< La fonction soignante féminine , a-t-elle décidé , doit être déchargée de toute tâche subalterne dans un hôpital . Elle doit être à même de dispenser ce qui peut être qualifié de "soins éclairés " grâce à une instruction préalable et doit être subordonnée à l'autorité médicale .>>

 

Les nurses mènent une existence très austère : deux heures de liberté par jour , un jour de congé par mois , une semaine par semestre ! Leurs études terminées , elles exercent leur métier dans des hôpitaux Londonniens d'abord , dans toute l'Angleterre ensuite .

 

L'innovation lancée par Florence va faire tache d'huile . En 1902, est ouverte en France une <<école d'infirmières >> : la durée des études est d'un an , le stage est rémunéré. Que faire des religieuses hospitalières (elles étaient encore 12 000 en 1898) ? Il est décidé que , si elles peuvent diriger les services auxiliaires de l'hôpital, (cuisine , lingerie , vestiaire, buanderie ), leur sont retirés la plupart des soins y compris l'assistance des femmes en couches , la pratique des examens gynécologiques , les soins aux hommes ,la toilette des enfants , la thérapeutique antivénérienne , etc.. Mais l'administration maintient en 1900 leur rémunération et leur entretien (logement , nourriture) 

 

En 1907, s'ouvre à l'hôpital de la Salpétrière la célèbre école d'infirmières qu'on appellera l'<<école des bleus >> , en raison de la couleur de la capote revêtue pour circuler dans l'hôpital quand il fait froid .C'est un école démocratique où <<les éléves se tutoient , ne se donnant même plus la peine de s'appeler mademoiselle >> ... Peu importe , au demeurant , car le but est clair : dans les hôpitaux , il faut substituer la science à la prière .

  école d'infirmières 1958 

 

Enfin , en 1922 , est créé le diplôme d'état d'infirmière , indispensable aux soignantes des hôpitaux pour délivrer des soins (le diplôme d'état deviendra obligatioire dans les hôpitaux en 1946) . Elles ne sont plus , depuis quelques années , obligatoirement logées à l'hôpital et , progrès obtenu en 1905 , 50% d'entre elles sont mariées à cette époque . En 1923-1924 , les salaires des infirmières (nourries et parfois logées à l'hôpital) Sont mensuels . Elles ont obtenue un jour de repos hebdomadaire . En 1934 , il reste encore 4 000 religieuses qui font fonction d'infirmière dans les hôpitaux publics , car elles ont pu passer un examen dit de <<récupération >> qui les a autoriser à exercer . Ce vestige de l'organisation religieuse a disparu de nos jours dans les hôpitaux publics .

 

 

Ainsi , après de longs siècles , s'est élaboré peu à peu le métier d'infirmière , qui a remplacé la charité par la technique . Mais cela n'exclut pas (moins encore que jadis ) l'observation de ce sage précepte moral d'un traité indien sur les devoirs de l'infirmier : <<seul est propre à soigner ou à assister le malade un homme de sang-froid , vigoureux , aimable dans son maintient ,,ne médisant de personne , attentif aux besoins du malade , suivant strictement et infatiguablement les instructions du médecin ...>>

 

Ce qui est vrai en Inde vers 800 av .JC , l'est toujours pour les infirmiers et infirmières de l'époque moderne .  (source : Top Santé de juin 1996) 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Sciences et découvertes
30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 22:00

Jusqu'en 1877 , seules les religieuses s'occupaient des malades .

 

Le 1er mai 1900, une novice de 20 ans , Pauline Ledan , est envoyée avec quatorze autres religieuses à l'hôpital Pasteur (Paris) dirigé par le Dr Emile Roux . Celui-ci recherche du personnel jeune pour le former aux nouvelles méthodes mises au point par Louis Pasteur :

 

<< Au début , j'ai eu du mal à m'habituer , racontera Pauline , devenue soeur Laure . J'avais peur des malades , car ils souffraient beaucoup ... Je me disais : " Mon Dieu , je ne puis rester " ... Et puis je suis restée , ma mission était là .

 

<<Un jour , j'ai dû maîtriser un jeune homme qui avait une mauvaise scarlatine : il est mort le lendemain . Une autre fois , un malade m'a prise à la gorge et m'a plaquée contre le mur . J'ai crié, personne ne venait . J'étouffais ! Finalement , j'ai été délivrée par une soeur et un interne ...

 

<< Nous travaillons énormément à l'hôpital . C'était dur , mais nous avions une devise :"on va essayer" . C'est ce que j'ai fait pendant cinquante-six ans au service des malades : je l'ai quitté en 1956, j'avais 76 ans . Depuis , mon activité est de prier ...>> Ces lignes ont été écrites en 1980 . soeur Laure avait juste 100 ans . (elle est morte peu de temps après ). Elle était resté à l'hôpital Pasteur pendant quatre-vingts ans , exemple sans précédent d'une vie de religieuse hospitalière vouée tout entière à soigner <<ses>>malades .

 

Avec soeur Laure , disparaissait l'une des dernières <<religieuses infirmières >> qui, depuis des siècles , avaient institué des équipes soignantes au chevet des personnes hospitalisées . Elles ont cédé la place à de véritables professionnelles des soins que leurs niveaux d'études , sanctionnées par des diplômes techniques , rendait aptes à faire bénéficier les patients des progrès de la thérapeutique moderne .

 

A l'origine , la vocation des femmes à s'occuper des malades fut, sans aucun doute , d'inspiration religieuse et d'origine royale ou noble . Elle débuta avec l'essor du christianisme dans le bassin méditéranéen . A Byzance (Constantinople) , Placilla , veuve de l'empereur romain Théodore1er , mort en 395 apr. J-C , fut  la première à ouvrir un <<asile de vieillesse pour les femmes pauvres >> , le <<gerocomion>>. Elle même et les dames de la cour impériale s'occupaient des pensionnaires , dans un esprit de dévouement et d'aide à son prochain . Inaugurée par Placilla , cette << charité mondaine >>, comme on l'appellera plus tard , eut de nombreuses imitatrices .

 

Dès son départ , la vocation des soignantes s'affirme donc religieuse , d'où la création , au cours des siècles , d'ordres féminins consacrés aux malades hospitalisés ou recevant des soins chez eux . Pourquoi des femmes et non des hommes , sauf de rares exceptions ? Deux raisons à cela :

 Les femmes connaissent la douleur (celle de l'enfantement , celle, occasionnelle des règles ) et sont plus aptes à compatir à celle d'autrui . Et ne sont-elles pas plus croyantes , donc psychologiquement plus fortesd que les hommes devant la souffrance ?

 

Cette évidence , un modeste curé de Châtillon-les-Dombes , Vincent de Paul , l'a utilisée dès 1617 . Il fonde deux confréries de femmes  , les dames de charité , recrutées parmi les nobles et les bourgeoises , et les filles de la charité , composées nde <<filles des champs d'humble extraction >>, maintenant , dans le dévouement ,cette distinction entre charité <<mondaine>> et charité populaire .

 

Le 23 novembre 1633 , il crée la première école d'infirmières que le monde est connue . Mais ce n'est qu'une ébauche de formation professionnelle , car la soeur infirmière ne connaît qu'une règle : obéir aveuglément au médecin ! En 1676 , les filles de la charité , les <<soeurs grises>> , comme on les appelle , servent dans plus de cinquante hôpitaux répartis dans le royaume .

florence nightingale 

 

 

 

 

 

 

 Florence Nightingale

fonde en 1857 à Londres ,

La première école de

gardes malades

professionelles

destinée à former un

personnel qualifié 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quel est leur rôle ? D'abord , les taches domestiques . Elles doivent <<tenir les malades nets le plus possible , s'assurer qu'ils ont les pieds lavés , vider leurs bassins >> et leur servir trois repas par jour . Les soeurs grisent assurent aussi la propreté des salles <<en les arrosant et en les balayant au moins deux fois par jour >>.

 

Ensuite les soins . La soeur accompagnera le médecin au lit du malade <<aussi souvent qu'il y est obligé et  qu'il est nécessaire >> ;<<elle fait prendre elle-même au malade les remèdes à l'heure prescrite et doit s'informer auprès des malades de l'effet des remèdes pour être en état de rendre compte aux médecins à la visite suivante >>; enfin , il est défendu <<de donner aucuns remèdes à moins qu'ils n'aient té ordonnés par les médecins >>.

 

Et quand il risque d'y avoir des accidents ? Suivons ce dialogue entre Vincent de Paul et une soeur grise :

<< Faut-il toujours obéir au médecin ? demandet-elle.

 Oui ! il faut faire ses ordonnances

 Mais , monsieur , s'il ordonne de saigner une personne qui s'en va mourrir ?...

 il faut lui obéir et , dans ce cas, si vous voyez qu'il est arrivé un changement à la maladie du malade depiis que le médecin a ordonné la saignée , vous devez faire en sorte de l'en avertir ! >>

 

Ces règles de Vincent sont-elles observées ? Non , sans doute , car <<servant Jésus-Christ en la personne des malades >>, les soeurs imaginent des méthodes thérapeutiques que l'instruction rudimentaire délivrée par Vincent de Paul n'a pas prévues . Quant aux soins techniques (pansements, clystères, cautères )? ils sont délivrés par les éléves en chirurgie .

 

Cette description du travail des soeurs hospitalières du temps de Vincent de Paul serait incomplète si l'on ajoutait les recommandations que le prêtre a données à ses filles de charité : <<Elles n'oubliront pas de dire à leurs malades  , de fois à autre , quelques bons mots pour les disposer à la patience , ou à faire une bonne confestion générale ou à bien mourrir ou bien vivre ... Il faut saluer les malades gaîment et charitablement .>> N'est-ce pas la préfiguration de l'aide psychologique que l'infirmière de nos jours peut apporter aux patients . 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Sciences et découvertes
29 septembre 2012 6 29 /09 /septembre /2012 22:00

Valeur nutritionnelle :

Protéines : 11    Lipides : 6      glucides : 15      Calories : 158

 

salade de maïs aux oeufs de lumps

Ingrédients : (4 pers)

1 petit pot d'ouefs de lumps

300 g de fromage blanc à 0%

1 boîte de 250 g de maïs en grains au naturel

1 jaune d'oeuf

1 C à soupe de moutarde

Sel et poivre

Quelques feuilles de laitue

 

    Préparation :

 

 Rincer soigneusement le maïs

 Dans le saladier , mettre le jaune d'oeuf et la moutarde

 

 Mélanger au batteur comme pour monter une mayonnaise

 Saler et poivrer

Ajouter les grains de maïs

 Mélanger le tout

 Disposer des feuilles de laitue dans des coupes individuelles

 Remplisser avec le mélange obtenu ci-dessus

 décorer avec les oeufs de lumps

Petit plus :

Ne manger pas de pain pour cette entrée , le maïs étant considéré comme un féculent .

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Entrées santé et diététique
29 septembre 2012 6 29 /09 /septembre /2012 07:30

 

Mis à jour le vendredi, 28 septembre 2012 10:32 - Écrit par Yvanie le vendredi, 28 septembre 2012 10:31

 

Comme chaque année, la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière est lancée. Depuis le vendredi 28 septembre, les pharmacies disposent du vaccin, qui est "sans adjuvant".

Quelque dix millions de personnes "à risque" ont déjà été invitées par l'Assurance maladie à se faire vacciner gratuitement.

 

Depuis l'an dernier, ce dispositif a été étendu aux personnes ayant reçu une greffe d'organe.

 

Ce sont donc tous les patients ayant une insuffisance rénale, dialysés ou transplantés, qui sont concernés.
Si vous êtes dans une de ces situations et que vous n'avez pas reçu le bon de vaccination, n'hésitez pas à contacter votre caisse.

 

Il est conseillé de se faire vacciner dès le début octobre. En effet, l’épidémie commence en général mi-novembre et il faut une quinzaine de jours après la piqûre pour être immunisé. Ensuite, on est protégé pendant six mois environ...

 

Il est important de se faire vacciner tous les ans : le virus mute et le produit est adapté chaque année.

 

N'hésitez pas à demander conseil à votre néphrologue.

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zouave62660 zouave62660 - dans Informations diverses(cancers tabac.diabétologie
28 septembre 2012 5 28 /09 /septembre /2012 22:00

Les cocktails par couches de couleurs et qui ne se mélangent pas sont parfois nommés <<pousse-café>> . Ils sont tourjours très spectaculaires , bien que souvent d'une harmonie de goût discutable . Le barman étant tributaire du coloris et de la densité de chaque alcool pour obtenir l'effet désiré.

 

La plupart ds barmen professionnels réalisent ce prodige de ne pas mélanger les diverses couches en les superposant lentement , et en versant les boissons tout doucement sur le dos bombé d'une cuillère . Ne pas << y aller avec le dos de la cuiller >> , selon l'expression célèbre , conduirait à une superposition floue et sale des liquides dont les densités voisines entraîneraient l'interpénétration .

 

Une autre méthode , plutôt laborantine , consiste à verser les alcools à l'aide d'une pipette de chimiste (ou de caviste) dans le fond du verre en commençant par celui qui sevra être en haut , puis en commençant l'opération avec l'alcool qui occupera la seconde position en partant du haut , puis avec la troisième et ainsi de suite jusqu'au dernier , qui sera dans le fond .

 

Sous condition de respecter l'ordre des densités , les alcools les plus denses en bas , les moins denses en haut , on ne risque pas l'échec de ce procédé .

 

A noter également que , plus un alcool est sucré , plus il est dense , plus il est alcoolisé , moins il est dense .

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zouave62660 zouave62660 - dans Tout sur les cocktails
27 septembre 2012 4 27 /09 /septembre /2012 22:00

Brochettes de boeuf au gruyère :

30 g de viande de boeuf + 20 g de comté

 

Préparation : 8 mn         cuisson : 5 mn

 Coupez la viande en tranches très fines

 Coupez le fromage en bâtonnets

 Piquez le fromage au bout de piques en bois

 Enveloppez-les de'une tranche de viande

 Faites-les griller 5 mn sous le grill du four , en les retournant à mi-cuisson

 Servez aussitôt

Petit plus :

Vous pouvez accompagner ces brochettes de riz .

 


Tartelettes aux épinards :   (4 tartelettes)

125 g de pâte brisée + 200 g d'épinards + 20 g de beurre + 2 oeufs + 2 C à soupe de crème fraîche + sel

Préparation : 15 mn       cuisson :  30 mn

 Préchauffez le four à 210°C (th 7)

 Lavez les épinards et faîtes-les blanchir 1 à 2 mn dans de l'eau bouillante salée

 Egouttez-les et hachez-les

 Faîtes-les revenir dans une poêle avec le beurre pendant 5 mn

 Dans un bol , battez les oeufs et les trois quats de la crème fraîche

 Ajoutez les épinards hachés

 foncez les moules à tartelette de pâte brisée , piquez le fond

 Versez la préparation aux épinards

 Faites cuire au four pendant 25 mn

 Déposez un peu de crème fraîche en forme de sourire sur les tartelettes

 

Petit plus :

Vous pouvez également saupoudrer les tartelettes de fromage râpé et faire gratiner légérement .


Clafoutis aux tomates cerise :(4 portions)

4 oeufs + 300 ml de lait demi-écrémé + 3C à soupe légèrement bombées de farine + 50 g d'emmental râpé + 200 g de tomates cerise + 1 C à café d'herbes de provence d"shydratées + sel et poivre

 

Préparation : 15 mn         cuisson : 35 mn  

 Préchauffez le four à 190°C (th 6-7)

 Mélangez ensemble tous les ingrédients

 Versez dans un moule à bord haut

 Faites cuire au four pendant 30 à 35 mn

Bon à savoir : 

L'apport en protéines du repas est en partie asuré par les oeufs , le lait et le fromage de ce plat

 

 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Menus bébé (diététique)
26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 22:00

 

C'est en ce mardi 25 octobre que je suis allé faire une visite post-greffe.

 

Voici  le compte-rendu de cette journée :

     

Celle-ci à commencé par une arrivée au CHR de Lille pour 7h 10 suite à la convocation reçue .

 

Les visites commencent désormais à 7 h au lieu de 8 h

 

Les prises de sang se réalisent et ensuite c'est l'attente pour passer au médecin

 

Le médecin qui m'accompagnais le Dr Decleck étant partie à la retraite , je suis donc suivi par un nouveau médecin le Dr Louvet que j'avais rencontré deux ou trois fois lors de  ma greffe au service des transplantations .

  Il faut dire que j'appréhendais un peu ce changement , mais tout s'est finalement bien déroulé .

La prise de contact fut chaleureuse et amicale.    

 

Durant cette entrevue , j'ai eu les conclusions de mon scanner thoracique qui sont :

 "Absence de nodule ou de masse suspect du parenchyme pulmonaire"

 

    En ce qui concerne mes prises de sang ,elles sont normales .

 

Une prochaine consultation est prévue en décembre afin de savoir si l'on doit  diminuer mes anti-rejets vis-à-vis de mon taux de créatinine .

Lors de cette journée nous n'étions que deux transplantés . Toutes les autres personnes présentes étaient en attente de greffe . Nous avons donc pu dialoguer, mon ami Françis (le 2eme greffé) et moi avec eux de notre situation de santé avant et après notre greffe pour les conforter .

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zouave62660 zouave62660 - dans mon vécu
25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 22:00

 

  ananas

Ingrédients : (6 pers)

1 ananas

1l de jus d'ananas

1l de limonade à l'orange

2 oranges

1/4 l d'eau

glaçons

 Réunir dans une casserole le zeste et le jus des 2 oranges et l'eau

 Portez à ébulition et laissez bouillir 2 mn

 Disposez l'ananas en morceaux dans une coupe à punch

 Ajoutez le zeste et le jus des oranges

 laissez reposer 3 h au réfrigérateur

 Ajoutez les glaçons , le jus d'ananas er la limonade au moment de servir .

 

Petit plus :

On peut utiliser un ananas frais , en le creusant délicatement sans percer la peau et s'en servir comme une coupe .

Il faudra bien entendu le remplir plusiers fois .

 

 

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zouave62660 zouave62660 - dans Boissons et cocktails sans alcool
24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 22:00

 Depuis quelques jours, nous voyons émerger dans la presse de nombreux articles sur les médicaments génériques. Certains les défendent contre vents et marées tandis que d'autres s'interrogent. Que faut-il en penser ?

C'est quoi un médicament générique ? 

Affirmer qu'un médicament générique est identique au médicament original est mensonger. Un médicament générique est un médicament qui comporte souvent la même molécule que l'original mais la directive européenne 2004/27 précise toutefois que “les différents sels, esters, éthers, isomères, mélanges d’isomères, complexes ou dérivés d’une substance active sont considérés comme une même substance active, à moins qu’ils ne présentent des propriétés sensiblement différentes au regard de la sécurité et/ou de l’efficacité. Dans ce cas, des informations supplémentaires fournissant la preuve de la sécurité et/ou de l’efficacité des différents sels, esters ou dérivés d’une substance active autorisée doivent être données par le demandeur”.

Sur un plan chimique et plus généralement pharmaceutique, cette définition du médicament générique est plutôt ... tolérante.

Un médicament générique doit avoir prouvé sa bioéquivalence, un test réalisé sur quelques dizaines de volontaires sains, de jeunes hommes en l'occurence. Chez ces personnes, la quantité de principe actif absorbée par l'organisme doit être comprise entre 80% et 125% par rapport à l'original. Sur certains médicaments, cet intervalle est resserré.
Enfin, un médicament générique n'est jamais évalué en conditions réelles, par exemple chez une personne âgée qui prendrait plusieurs médicaments. De plus, il n'est jamais évalué sur son effet thérapeutique mais simplement sur la dose de principe actif qui arrive dans le sang chez le volontaire sain.

Dire qu'un médicament générique est identique à l'original est donc faux. On peut donc au mieux dire qu'il est comparable.

A ce sujet, l'Académie de Médecine a semé le trouble en février dernier en affirmant que cette bioéquivalence n'était pas forcément une garantie de même efficacité thérapeutique.

Mais dans la plupart des cas, il n'y a pas lieu de s'inquiéter des différences minimes qui existent entre génériques et médicaments originaux, même si le générique s'avérait légèrement sous-dosé.

Des interrogations sur l'origine des principes actifs

Coup de tonnerre dans le monde de la pharmacie ! Il y a quelques semaines, la presse anglosaxone s'est emballée après qu'un inspecteur belge Philippe Andre, patron d'une firme d'audit des centres de production pharmaceutique a révélé les résultats catastrophiques d'une inspection d'une usine chinoise de fabrication de principes actifs. L'incroyable propreté de l'usine, ainsi que quelques détails concernant l'absence d'un système d'évacuation de la vapeur d'eau lui ont mis la puce à l'oreille. L'usine n'était qu'une simple façade, un "showroom" destiné à tromper les autorités chinoises et à blanchir des activités de production low-cost et de contrefaçon.

Cette découverte nous rappelle le désastre des héparines chinoises volontairement "coupées" avec de la chondroïtine il y a quelques années et ayant entraîné le décès de 149 américains. Edward Sagebiel, le porte-parole de la firme pharmaceutique Lilly and Co a ainsi expliqué que le laboratoire américain a dû imposer des standards de production de très haut niveau. Mais cela ne l'a tout de même pas empêchée d'avoir été confrontée à des filières de production de principes actifs illégales.

La production de principes actifs chinois représente 70 à 80% de la production mondiale des principes actifs.

Robert Walsh, un dirigeant de la société Biopharma Consulting, pointe du doigt les producteurs de génériques low-cost qui sont moins regardant que les laboratoires de princeps sur l'origine de leurs principes actifs.

Alors, info ou intox de Big Pharma ?

Toujours est-il que les héparines chinoises frelatées ont bien tué près de 149 personnes aux Etats-Unis en 2008.

Nous sommes donc en droit d'exiger des autorités sanitaires européennes et françaises davantage de transparence sur le sujet ainsi qu'un renforcement des contrôles et des normes de production de principes actifs.


Toute considération financière mise à part, il est évident que le médicament original a été testé dans le cadre d'études cliniques de grande ampleur, contrairement à son équivalent générique qui comme nous l'avons vu peut comporter quelques différences. Une différence de biodisponibilité de 10 ou 20% ne pose pas de problème dans la plupart des cas. A prendre cependant en considération certains médicaments comme les antiépileptiques ou les antiarythmiques qui tolèrent mal les fluctuations de dose.

Et les pouvoirs publics ?

Le reproche que l'on peut exercer à l'encontre des pouvoirs publics est leur manque de transparence sur la qualité des médicaments génériques. La transparence, cela ne consiste pas à crier de toutes ses forces que les génériques sont aussi bien contrôlés que les médicaments originaux. Encore faut-il pouvoir présenter des faits, des données chiffrées.

La véritable transparence consiste également à pouvoir communiquer lorsqu'il y a un problème sur un générique plutôt que de l'étouffer.

Par exemple les soucis rencontrés avec les génériques du Levothyrox ayant entraîné des déséquilibres thyroïdiens n'ont été que timidement avancés sur la place publique. Dans un plaidoyer "pro-génériques" paru dans l'édition du 9 septembre 2012 du JDD, Etienne Caniard, le président de la Mutualité Française, une structure que l'on ne soupçonnera pas d'être à la solde des labos, s'est d'ailleurs exprimé sur ce point : "Certaines spécialités dont les marges thérapeutiques sont étroites comme dans le cas des traitements thyroïdiens ne doivent pas être substituées. Elles ne le sont pas. Mais dans 90% des cas, il n'y a aucune différence".

Peut-être pourrions-nous alors nous intéresser aux 10% de cas restants ?

Accepterions-nous de l'industrie automobile par exemple que 10% des airbags posent des problèmes ?
Accepterions-nous de l'industrie nucléaire que 10% des centrales posent également des problèmes ?
Accepterions-nous enfin de l'industrie aéronautique que "la plupart" des avions volent correctement, à 10% près ?

Cette opacité est compensée par des campagnes publicitaires gigantesques de l'Assurance Maladie pour rassurer et favoriser la substitution. Mais dans cette affaire de santé publique, est-ce vraiment à des administratifs de l'Assurance Maladie, juges et parties, de se prononcer sur l'inocuité de ces médicaments ?

Comme pour Big Pharma avec le médicament original, l'Assurance Maladie a également ses propres conflits d'intérêts financiers, cette fois-ci en incitant la substitution vers le médicament générique. (source Jean-Jacques Bolzan) 
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zouave62660 zouave62660 - dans Informations diverses(cancers tabac.diabétologie